mercredi 21 décembre 2016

Défi littéraire 2017 : c'est vous qui décidez !

52 semaines pour co-écrire un roman


Quand je vous ai demandé ce que vous aimeriez lire plus souvent sur ce blog, quelqu'un m'a dit "J'aimais bien quand tu écrivais en feuilletons, j'étais impatiente de lire la suite !"

Entendu ! C'est vrai que c'était un chouette exercice, mais je me retrouvais souvent coincée à un moment donné dans mon histoire, puisque je ne planifiais rien et que je me laissais porter par mon inspiration du moment, qui finissait invariablement par manquer.

C'est là qu'une idée m'est venue : et si je comptais sur vous pour me pousser dans le dos ?



Voilà le défi un peu fou que je vous propose de faire pour bien commencer 2017 :

  1. La première semaine, vous me proposez une graine d'histoire pour commencer. Vous pouvez vous inspirer des miennes, des nombreux writing prompts trouvables sur Pinterest ou mieux : vous m'en inventez un. Idéalement, il faut qu'il représente une situation de départ : un personnage, une action, un lieu (comme dans cet exercice d'inspiration). Je choisirai parmi vos propositions et écrirai un premier épisode.
  2. Puis, chaque semaine, vous me proposez un défi : intégrer un mot spécifique, un événement (par exemple : un accident, un mort, un coup de foudre... mais sans préciser les protagonistes concernés : ça, c'est moi qui m'en charge), un lieu... À moi de faire évoluer mon histoire pour y intégrer votre défi.
Me connaissant, ça va pas être une mince affaire, mais si vous êtes là, je suis sûre qu'on peut y arriver...

Evidemment, plus on est de fous, plus on rit : si vous souhaitez vous aussi relever ce défi, je me ferai un plaisir de partager vos histoires sur ma page Facebook. Choisissez parmi les propositions qui me seront faites celles qui vous inspirent et écrivez votre propre histoire !

Alors, qu'est-ce que vous en dites ? Ça vous dit d'essayer de co-écrire un roman ? On commence la première semaine de janvier. Vous pouvez déjà soumettre vos idées de situation de départ, en commentaires sur ce blog ou sur Facebook. J'annoncerai mon choix de thème le 1er janvier.

En route pour une année 2017 placée sous le signe de l'inspiration !

lundi 12 décembre 2016

Rencontre avec Elisabeth... et la pleine conscience !

Comme je vous le disais dans mon dernier article, j'ai pris un break de ce blog pendant près de 10 mois suite à des problèmes de couple qui se sont soldés par un retour en Belgique (oui, nous étions à Saigon depuis fin 2014) et une séparation après 11 ans de mariage.

Dis comme ça, ça semble atroce comme situation, je sais. Mais en réalité, je crois que la vie suit son court et que chaque rencontre, chaque relation, nous fait grandir un peu plus.


De fil en aiguille

J'ai entendu parler de pleine conscience pour la première fois à un mariage en 2014. Je discutais avec Nathalie, une autre convive, du bien fou que m'avait procuré la lecture du livre de Christine Lewicki "J'arrête de râler sur mon conjoint et mes enfants" (je vous ferai un article bientôt à ce propos). Elle m'a alors parlé de méditation de pleine conscience, m'assurant que si j'entamais un chemin de développement personnel, cette technique m'intéresserait.

Je dois avouer que sur le moment, ça m'a paru un peu allumé, mais j'ai pris note de la référence qu'elle me proposait en la matière : "Le pouvoir de l'instant présent" d'Eckhart Tolle. (et hop ! encore un sujet de post pour plus tard). Je me le suis fait offrir pour Noël, juste avant notre départ pour le Vietnam. Je l'ai commencé peu après notre installation à Saigon. C'était pas très digeste, je dois reconnaître. Et si certains concepts m'ont plu, l'approche un peu trop mystique à mon goût m'a fait lâcher avant la fin.

Le hasard fait bien les choses

J'étais installée depuis quelques mois à Saigon. Je commençais à avoir quelques contacts d'expats sur mon mur Facebook, et c'est à l'occasion d'un de leurs partages que je suis tombée sur l'annonce d'Elisabeth, qui lançait son activité "Mieux-être au travail", où la pleine conscience jouait un rôle central.

Voilà que ce mot revenait dans mon existence.

Instinctivement, j'ai contacté Elisabeth sur Facebook, lui expliquant que je m'intéressais au sujet, et que j'aimerais qu'elle m'en dise plus. Nous nous sommes rencontrées autour d'un café, et le courant est bien passé. Avec des mots simples, elle m'a expliqué l'essence de la pleine conscience : il s'agit de vivre le moment présent sans se laisser polluer par notre mental. Nous avons tendance à nous laisser emporter par nos pensées. Soit tournées vers le passé (regrets, remords, rumination), soit vers le futur (anxiété, insatisfaction). Ce que j'en ai surtout tiré, c'est qu'apprendre à profiter pleinement du moment présent peut (notamment) nous aider à mieux gérer nos émotions. Et ça, tous ceux qui me connaissent savent que c'est un point sur lequel j'ai du travail à effectuer !

Pas de chance, Elisabeth était sur le point de quitter le Vietnam pour rentrer pour de bon à Paris. Qu'importe, nous avons convenu d'un programme de formation à la pleine conscience par Skype. À raison d'un entretien d'une heure par semaine pendant huit semaines, Elisabeth m'a accompagné dans la découverte de la pleine conscience au travers de conversations et d'exercices guidés.

Nos rendez-vous m'ont fait le plus grand bien. Je sentais déjà mon mari s'éloigner inexorablement, je gérais mal mon nouveau statut de "femme d'expat' / mère au foyer" financièrement dépendante, et me recentrer sur moi-même m'a permis de gérer la crise qui a suivi avec plus de sérénité.

Méditation : genre "aom" et tout ? Non, vraiment pas.

Alors à quoi ça ressemble, la "pleine conscience" ? En fait, il y a d'un côté la méditation - loin de l'image du moine zen en suspension à 10 cm du sol face à la flamme vacillante d'une bougie - et de l'autre une façon d'être présent au monde à tout instant. La pratique quotidienne de la méditation est en fait une sorte d'entrainement pour parvenir à être présent tout au long de la journée.

Personnellement, j'ai toujours eu du mal avec les pratiques quotidiennes : que ce soit prendre la pilule, des médicaments, faire du sport, écrire... Et je dois avouer que je ne suis pas parvenue à l'intégrer à ma routine (en fait, je n'ai pas de routine, c'est peut-être pour ça !). Il existe de supers applications pour s'y mettre, comme Petit Bambou (FR) ou Headspace (EN). Les premières séances sont offertes, puis il y a la possibilité de souscrire à des programmes spécifiques pour atteindre des objectifs précis.

Bien que je n'aie pas réussi à le faire entrer totalement dans mon quotidien, chaque fois que je l'ai fait, j'ai pu apprécier à quel point prendre ces 10 minutes pour soi, c'est un cadeau que l'on se fait.

L'autre pratique, qui consiste à vivre autant que possible chaque instant de façon consciente, m'a apporté un changement radical dans ma façon de vivre, d'être et d'apprécier le monde.

L'exercice de base consiste à être attentif à toutes ses sensations, physiques et émotionnelles, même dans des moments les plus anodins : sous la douche, il s'agit de sentir l'eau qui dégouline, sa chaleur, la caresse du savon sur sa peau, le parfum qui s'en dégage, la buée qui envahit la salle de bain... ; à table, il s'agit de déguster chaque bouchée, en savourant les différentes saveurs et textures ; dehors, remarquer les odeurs, la sensation du vent sur sa peau, les scènes de la vie quotidienne qui se déroulent, un rayon de soleil dans les branches...

À tout moment, des pensées nous assaillent. C'est normal. Le but n'est pas de s'en débarrasser, mais de les observer, comme si on se posait sur le bord de la route pour observer les voitures qui passent.

Bref, je n'ai pas la prétention de vous initier à la pleine conscience. Elisabeth et bien d'autres le feront mieux que moi. Mais je veux partager avec vous les bienfaits que j'en ai tirés.

Aujourd'hui, je suis positive, sereine et gâtée par la vie

J'ai toujours été de nature assez pessimiste. Pour tout dire, au moment où les choses ont commencé à se gâter, j'ai été diagnostiquée avec une dysthymie. C'est une forme de dépression modérée, mais qui a ceci d'insidieux c'est qu'elle est justement assez peu diagnostiquée et peut durer des années. Pour ma part, j'en suis atteinte depuis l'adolescence, au bas mot.

Quel soulagement, quelle renaissance de se rendre compte que non, vos idées noires, vos sautes d'humeur ne sont pas juste les traits d'un vilain caractère, mais les symptômes d'une maladie bénigne facilement guérissable !

Depuis ma découverte de la pleine conscience, je réalise que nombre d'événements, heureux ou malheureux, apportent leur lot de positivité. Je me prends souvent à sourire, à relativiser et à éprouver de la gratitude pour ce qui m'arrive. Et la vie me le rend bien. La veille de mon anniversaire, j'ai eu la chance de trouver un super appartement et une voiture, dans mon budget, et malgré ma situation qui - sur papier - n'est vraiment pas idéale (chômeuse avec deux enfants). Et je suis convaincue que si je me suis vue refuser tous ces emplois jusqu'ici, c'est parce qu'un autre, bien mieux, m'attend un peu plus loin sur le chemin.

C'est une sensation très agréable, de prendre la vie du bon côté, d'être confiante, d'être ouverte à ce qui arrive... C'est un cadeau que je me suis fait en m'intéressant à la pleine conscience et en prenant du temps pour moi.

Quelques sources intéressantes pour en savoir plus sur la pleine conscience


  • "Mieux-être au travail", le site d'Elisabeth Allier qui propose des formations à la pleine conscience.
  • Christophe André, le "pape" français de la pleine conscience, a écrit de nombreux livres sur le sujet, dont le célèbre "Méditer jour après jour".
  • "Calme et attentif comme une grenouille", un livre accompagné d'un CD pour apprendre à vos petits bouts les bases de la méditation de pleine conscience. Devrait être enseigné à l'école !
  • "Le pouvoir du moment présent", d'Eckhart Tolle. Même si je l'ai trouvé indigeste, j'ai une amie qui l'a adoré. C'est une référence en la matière.
  • L'application gratuite Petit Bambou : 8 séances de méditation guidée en Français offertes en guise d'introduction
  • L'application gratuite Headspace : 10 séances de méditation guidée en Anglais offertes en guise d'introduction


Alors, avez-vous envie de tenter le coup ? À moins que vous ne l'ayez déjà adoptée ? Je serais ravie d'avoir vos retours d'expérience sur le sujet.

samedi 10 décembre 2016

Nouveau chapitre...

Ça fait depuis Février que je n'ai plus écrit une ligne sur ce blog. Et pour cause... c'est à peu près à cette période que ça a commencé à sentir vraiment le roussi pour mon couple. Ce silence m'a permis d'accomplir un long chemin depuis. Quand mon mari m'a finalement annoncé qu'il me quittait en Juin, j'avais déjà commencé à me faire une raison. Et bien que je sois triste d'achever ce chapitre de ma vie, je suis aussi reconnaissante et heureuse d'en ouvrir un autre.

Nouvelle vie - Chapitre 1

La fin n'est qu'un début


Il était donc temps pour moi de reprendre la plume. Je ne sais pas encore très bien comment orienter ma ligne éditoriale. J'aime toujours écrire, mais j'ai du mal à m'y mettre ces temps-ci. Ayant dû renoncer à mon job passionnant chez Efaisto pour rentrer en Belgique, je me cherche professionnellement depuis. Peu avant de laisser ce blog en friches, j'avais aménagé de nouvelles sections :

  • J'écris (mes histoires courtes et techniques d'écriture)
  • Je lis (mes opinions sur mes lectures)
  • Je vis (mes découvertes en termes de développement personnel et mes propres expériences du quotidien)
  • Ateliers (d'écriture ou de communication, que j'organisais à Saigon, mais pourquoi pas remettre ça ici en Belgique ?)

Je pense que les rubriques qui m'inspireront le plus en ce moment, ce sont les rubriques lectures et développement personnel, puisque que c'est ce qui a occupé le plus clair de mon temps ces derniers mois. Je voudrais notamment vous parler d'Elisabeth Allier, qui m'a ouvert les portes de la pleine conscience ; de Florence Servan-Schreiber, dont les 3 kifs du vendredi sur Facebook m'ont donné la pêche et envie de la suivre ; et de la façon dont cette séparation a apporté un nouveau souffle dans ma vie.

Mais j'aimerais surtout entendre votre avis sur la question. Si vous suivez encore mon blog, ou si vous y avez jeté un œil et le trouviez intéressant, qu'aimeriez-vous lire plus souvent ? Quels sont les sujets qui vous touchent ? Qu'avez-vous envie d'y découvrir ?

Vos commentaires, sur ce blog ou sur ma page Facebook, m'aideront à vous donner ce que vous cherchez. Alors merci déjà et à très vite. D'ici-là, je m'en vais faire un peu le ménage, mettre à jour mon profil et préparer deux-trois articles. A très vite !

Marie

mardi 16 février 2016

Choisir un point de vue

Le point de vue, c’est la voix qui va conter votre récit. Son choix est capital et aura une influence énorme sur votre style d’écriture et sur la façon dont votre lecteur va s’identifier, s’imprégner de votre histoire. Il n’y a pas de bon ou mauvais choix, seulement une foule de possibilités. Et pour compliquer encore la chose (bien qu’à mon sens cela puisse au contraire parfois faciliter les choses), vous pouvez également opter pour plusieurs point de vue, en les alternant au fil des chapitres, ou aux changements de parties.

CHOISIR UN POINT DE VUE POUR RACONTER SON HISTOIRE



  • Première personne (impliquée)
    C’est l’un des acteurs de l’histoire. Cela peut être le personnage principal, ou un personnage secondaire (comme dans Gatsby le magnifique, par exemple). Son point de vue est forcément limité aux scènes auxquelles il assiste, à ce qu’il a appris ou entendu dire, à ce qu’il peut deviner ou interpréter. Il raconte au travers de son ressenti, donne son avis. 
  • Deuxième personne (livres dont vous êtes le héros)
    Beaucoup plus rares (et pas forcément faciles à manier) sont les romans en “tu”. Attention à ne pas confondre : les histoires sous forme de lettre (épistolaire)/testament qui s’adressent à un “tu” sont en fait écrits à la première personne. 
  • Troisième personne limitée (impliquée ou neutre)
    Comme pour les romans écris à la première personne, il s’agit soit du personnage principal, soit d’un personnage secondaire, à la différence qu’au lieu de parler à la première personne, il est traité ici à la troisième personne. 
  • L’auteur omniscient (neutre)
    C’est probablement celui qu’on retrouve le plus, surtout parmi les premiers romans. Il est témoin de toutes les scènes et des pensées de tous les personnages. 
  • Le témoin (pas impliqué dans l’action, mais donne son avis)
    Contrairement à l’auteur omniscient, il ne connait pas forcément toute l’histoire. Il raconte ce qu’il en sait. 
  • Le narrateur douteux (donne sa version tronquée des faits. Ex : Usual Suspect)
    Très similaire au témoin, si ce n’est que c’est un manipulateur. 
  • Points de vue multiples
    Il est tout à fait possible de combiner plusieurs points de vue pour raconter une histoire. Par exemple, il arrive qu’on suive en parallèle le point de vue du protagoniste et celui de l’antagoniste, ou celui d’un témoin et d’un acteur. Mais c’est un exercice qui n’est pas toujours aisé.
Je vous propose un petit exercice en deux temps, pour mettre en pratique ces enseignements.
Etape 1 : choisissez une image parmi celles ci-dessous et, en 15 minutes, racontez l'histoire qu'elle vous inspire.



Etape 2 : Racontez la suite de votre histoire en choisissant un autre point de vue.
Choisissez-vous souvent le même point de vue pour écrire vos histoires ? Lequel ? 

mercredi 3 février 2016

Victoria Hislop - "Une dernière danse"

Encore un cadeau de belle-maman... Je ne savais pas à quoi m'attendre en ouvrant ce livre. Je ne connaissais pas l'auteur (en fait si, mais je ne m'en suis rendu compte qu'après, c'est elle qui a écrit L'Île des oubliés que j'ai adoré aussi) et la jacquette ne m'émoustillait pas plus que ça. Mais ce que j'ai découvert m'a plu.

Le pitch est un peu banal. Une femme, dont le couple bat de l'aile, trouve un second souffle grâce à la salsa. Elle part faire un stage à Grenade en compagnie d'une amie et fait la rencontre du tenancier d'un café qui la prend en amitié. Il lui racontera le destin tragique de la famille Ramirez, au son du flamenco et de la guerre sous le régime de Franco.


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C'était une période de l'histoire que je ne connaissais que de nom, vague réminiscence de mes années de lycée. Je savais qu'en Espagne un certain dictateur du nom de Franco avait sévit à peu près en même temps que cette crapule d'Adolphe, que Picasso en avait fait un tableau intitulé Guernica, et que Guernica était le nom d'une ville suffisamment représentative de l'horreur de cette période que pour avoir donné son nom à un tableau. Je me souviens à peine du tableau en lui-même.

Guernica n'est pas le point central du livre (à peine en est-il fait mention dans un passage), mais je le vois d'un jour nouveau aujourd'hui. J'ai découvert la détresse du peuple espagnol déchiré par une guerre civile dont j'ignorais tout. Et je m'en veux d'en avoir su si peu jusqu'ici.

J'aime quand les romans me racontent l'Histoire, comme quand je découvrais le Berlin d'avant la chute du mur grâce à Douglas Kennedy.

Et vous, il y a des romans qui vous ont fait poser un autre regard sur l'Histoire que vous avez apprise à l'école ?


mardi 2 février 2016

Construire son discours de marque

Parce qu'avoir une belle plume, c'est pas seulement pour se faire plaisir et s'inventer des histoires qui, peut-être un jour, plairont à d'autres, j'ai lancé ici à Saigon une nouvelle série d'ateliers, mais cette fois destinés aux solopreneurs qui veulent améliorer leur communication.

La première session s'est tenue le 29 janvier, et je suis super contente des retours que j'ai reçus. J'avais un groupe de cinq super nanas, qui toutes avaient déjà lancé leur propre produit ou service. Mais être seule à la barre, de la conception à la production, en passant par la vente, le service après-vente, la comptabilité et la gestion, c'est pas toujours évident. L'objectif de cet atelier était de leur apprendre à raconter leur produit, leur histoire, de façon cohérente et percutante.

Qui est mon client ? Quel est son besoin ? Comment j'y réponds et de quelle façon unique ? Comment construire son message différemment en fonction de ses objectifs ? Ce sont quelques unes des questions que nous avons abordées de façon très pratique, sous forme d'exercices concrets basés sur leur propre business.




Résultat des courses ? Nous allons organiser un apéro de suivi où les filles pourront échanger et se donner du feedback sur leur mise en application des exercices proposés, et je vais fixer très bientôt une date pour un second atelier où nous aborderons la communication web. Je suis super excitée par ce nouveau projet. Si vous aussi, vous êtes intéressé(e) par ces ateliers, n'hésitez pas à remplir le formulaire pour être tenu(e) au courant du prochain atelier (ou à demander une réédition de celui-ci : si j'ai un groupe de 5, je peux le refaire).

Promis, je ne laisse pas tomber l'écriture, d'ailleurs, le prochain atelier d'écriture créative est déjà fixé, vous n'êtes pas encore inscrit ?

lundi 18 janvier 2016

Graine d'histoire : "Bonjour, Monsieur Lundi !"

Voilà la petite pousse d'inspiration du lundi... Et si chaque jour de la semaine était une personne ?

Par exemple, j'imagine lundi comme un fonctionnaire des impôts, tout gris, la trentaine mais qui en fait quarante, dépressif parce que personne ne l'aime et du coup, il le leur rend bien... Et vous ? Ça vous inspire quoi ?


dimanche 17 janvier 2016

Défi photo : 52 Odile's Pictures Challenge

Premier article de ma nouvelle rubrique "C'est décidé, je vis !". À ceux qui me suivent sur ma page facebook, j'avais déjà évoqué mon envie de faire évoluer ce blog en quelque chose de plus personnel, en y ajoutant des rubriques (J'écris, Je vis... Même si au départ j'avais imaginé "Je me lance", je trouve que "Je vis", c'est plus percutant), mais aussi en améliorant son aspect visuel (bon, là, c'est pas encore gagné, j'y travaille : j'ai découvert un super blog de tutos Blogger, dont je ne manquerai pas de vous parler très prochainement, une chose à la fois). Ça passe par les photos que j'utilise pour illustrer mes posts.

Comme j'ai toujours été très nulle en photo, j'ai choisi d'utiliser des photos de stock libres de droits. Il y en a de très jolies, mais il faut bien reconnaître que comme elles sont rares, on finit par les retrouver sur tous les blogs. Pas très personnel, tout ça.

Puis, j'ai découvert le challenge d'Odile Sacoche, une blogueuse belge que j'aime bien : le 52 Odile's Pictures Challenge. Elle propose ainsi un thème hebdomadaire et invite ceux qui souhaitent participer à poster leurs photos sur Instagram avec le hashtag #52OdilePicsChallenge ou dans le groupe facebook (privé) qu'elle a créé pour l'occasion, agrémentant le tout de quelques conseils photos qu'elle a pu glaner sur le net.

Je me suis dit que tenter de faire UNE petite photo par semaine, ça devait être gérable comme défi.
Voici donc mes deux premières participations pour ce challenge, et vous pourrez retrouver la suite sur mon compte Instagram.

#1 - Fresh New Start
"Little running along the river at dawn..."

#2 - Ce matin
"Prête à accueillir les participants à mon 5ème atelier d'écriture"

Et vous, ça vous arrive de participer à des défis du genre (21 jours, 100 jours, 365 jours, 52 semaines...) ? Vous en avez à conseiller ?

jeudi 7 janvier 2016

Stephen King - Écriture (Mémoires d'un métier)

Cela faisait longtemps que je rêvais de lire cet essai du grand maître de l'horreur. Grâce à belle-maman, c'est enfin chose faite. Voilà un cadeau de Noël qui fait plaisir !

Cliquez sur l'image pour accéder à la page amazon.
Si vous le commandez ensuite, je risque d'y gagner quelques cents.


Stephen King tient une place particulière dans mon cœur de lectrice. Il est le premier auteur qui m'ait vraiment fait frissonner et donné envie de veiller toute la nuit pour connaître le fin mot de l'histoire. Je me souviens notamment d'avoir dévoré les 1200 pages du Fléau en à peine 24h (sans interruption, ce qui a toujours eu le don d'énerver mon entourage).

lundi 4 janvier 2016

Graine d'histoire - Mon âme au diable

Désolée, y a eu un peu de laissé aller avec les graines d'histoires du lundi. L'approche des vacances, le fêtes, tout ça... Bref, pas d'excuse en fait, mais voilà qui est réparé. Je viens de vous en préparer une nouvelle série, histoire de commencer 2016 en beauté, à commencer par celle-ci :

Graine d'histoire - Il y a quelques années, vous avez vendu votre âme au diable. Il vous la rend en vous demandant une faveur.

Quelle faveur ça pourrait être, d'après vous ?

Allez, saisissez votre plus belle plume, votre clavier, votre crayon, ou quelqu'ustensile d'écriture avec lequel vous vous sentez le plus à l'aise et débridez-moi cette imagination qui ne demande qu'à s'exprimer !

Et vous savez ce qui me ferait le plus plaisir ? Que vous partagiez ça avec moi et les autres en commentaire ci-dessous ou sur la page facebook.